Centre documentaire

LE DEGRE D'ARTIFICIALISATION DES BERGES DE LA PARTIE LIGERIENNE ET ESTUARIENNE DE LA LOIRE ENTRE LE CELLIER ET LE PONT DE SAINT-NAZAIRE

Année de parution : 1-01 00:00:01
Auteur(s) : MAËL LEJEUNE
Maître d'ouvrage : GIP LOIRE ESTUAIRE
Maître d'œuvre : GIP LOIRE ESTUAIRE

Nature(s) : RAPPORT
Thème(s) : TRAVAUX STAGIAIRES

2 cd joints avec le document papier.





Première partie : La transformation de la géométrie des berges, chronologie de 3 siècles

d'interventions humaines

I - La volonté de faire remonter la navigation jusqu'à Nantes

1.La difficulté pour la navigation : l'ensablement de la Loire

2. La doctrine de l'aménagement : la simplification géométrique

II. Le resserrement et le système centrifuge (1754 - 1868)

1. Principe général de la première doctrine d'aménagement

1.1. Quelques exemples pour étayer le système centrifuge

1.1.1 Les barrages submersibles et épis de Magin (1754-1768)

1.1.2 Les digues submersibles de Lemierre (1834- 1840) p.18

1.1.3 La poursuite du modèle par Auguste Jégou (1859 -1864)

1.1.4 Une voie artificielle : le canal maritime (1882 -1892)

III. L'ouverture du système de 1868 à aujourd'hui

1. Principe général de la deuxième doctrine d'aménagement

1.1. Le nouveau concept d'aménagement de Lechalas (1868 - 1874)

1.1.1 L'ouverture et le recalibrage de la section intermédiaire (1903)

1.1.2 Le raccordement du chenal fluvial et du chenal maritime (1973)

1.1.3 La création du bassin de marée (1915)

1.2 Le forçage : un aménagement toujours d'actualité

1.2.1 La rectification du chenal et la digue de concavité de Montoir (1933)

1.2.2 Le port et la poursuite d'une logique unique : la chenalisation

IV. Bilan de l'artificialisation de l'estuaire de la Loire

1. Une géométrie simplifiée

1.1 Evolution de la simplification géométrique de la section intermédiaire

1.2 Les conséquences sur les berges

2. Les effets induits de l'artificialisation

2.1 L'abaissement de la ligne d'eau

2.2 L'augmentation du marnage

2

Deuxième partie : L'homme, l'état des berges et les actions de protection

1. Situation générale des berges du Cellier au Pont de Saint Nazaire

1. Les facteurs et origines des érosions de berges

1.1 Les phénomènes naturels

1.1.1 La configuration de la berge

1.1.2 Le phénomène de méandrement

1.2 La modification du régime hydraulique du fleuve, la part de l'homme

1.2.1 Les extractions sablières

1.2.2 Le creusement du bassin de marée

1.2.3 La fluidification du lit

1.2.4 La variation rapide du marnage

1.2.5 Les effets de la navigation sur les berges

2. Les manifestations physiques sur les berges

2.1 Les ablations

2.1.2 L'arrachement

2.2 Les solifluxions

2.2.1 Le glissement

2.2.2 La solifluxion

II. Evaluation du risque de recul d'une berge

1. Les aménagements de la berge

2. L'absence ou le manque d'entretien de la ripisylve

3. Les berges particulièrement exposées aux phénomènes d'érosion

3.1 Les têtes d'iles

3.2 Les berges en vis à vis des épis

3.3 Les berges en aval d'épis

3.4 Les berges en aval d'un point dur

3.5 Les berges en vis à vis d'un point dur

3.6 Les zones où le fleuve est contraint de circuler dans un lit réduit

3.7 Les berges à proximité du chenal

4. Evaluation du risque d'après le profil et la colonisation par les végétaux

4.1 Les berges nues

4.2 Les berges herbeuses

4.3 Les berges arbustives

4.4 Les berges arborées

3

II - les moyens de protection de berge : une réponse au risque de recul

1. La fixation lourde des berges par des enrochements

1.1. Description de la protection

1.2. Les impacts sur les berges de cette technique d'artificialisation

1.3. La nouvelle instabilité des enrochements

1.4. L'évolution des techniques d'enrochements

2. La prise en compte d'un traitement différent des berges

2.1. Le génie végétal

2.2. Expérimentation en génie végétal : le cas de l'île Clémentine.

2.3. Les techniques mises en place.

Troisième partie : le degré d'artificialisation des berges entre Le Cellier et le pont de Saint-

Nazaire.

I - La grille d'analyse : critère de sélection.

1. La Localisation.

2. La hauteur de la berge.

3. La longueur du linéaire de berge.

4. L'Orientation de la rive.

5. Le type de pente.

6. Le profil de la berge.

7. L'exposition des berges au fleuve.

8. L'exposition des berges à l'érosion.

9. Les facteurs aggravants.

10. Les types d'érosion.

11. L'Etat de la berge.

12. L'environnement de la berge.

13. La nature de la berge.

14. Les berges artificielles.

15. Les berges à dominante naturelle.

II. La typologie de berges.

1. Les berges mobilisables ou non - fixées.

2. Les berges fixées.

III - Synthèse des résultats extraits de la base de données du SIG.

1. Cartographie du risque de recul des berges.

2. Détermination d'un degré d'artificialisation.

Mot(s) clé(s) : gestion hydraulique , hauteur d'eau, hydrologie, ligne d'eau, ouvrages d'art et installations

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